Pour cette étude commandée par l’ Association Canadienne de l’énergie éolienne, CanWEA, et l’Association européenne de l’énergie éolienne, EWEA, le MIT a pris en compte des donnés comme le stress, la gêne et les troubles du sommeil.
Le constat est édifiant : « Aucune association claire ou cohérente n’est observé entre le bruit des éoliennes et toute maladie signalée ou un autre indicateur de préjudice pour la santé humaine » selon l’étude.
Les auteurs du MIT ont examiné un certain nombre d’études de cas en Europe et aux États-Unis pour notamment évaluer l’impact des infrasons et la qualité de vie pour les populations à proximité de parcs éoliens.
Bien que les plaintes de résidents ont été plus fréquents au cours de la construction de parcs éoliens, d’autres technologies telles que les installations gazières et pétrolières ont attiré les critiques plus public …
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